Avec son principal point fort qu’est la possibilité de réduire son impôt sur le revenu de manière conséquente, la loi Girardin a fait l’objet d’un prolongement de sa validité jusqu’en 2025, uniquement pour les collectivités d’Outremer ainsi que pour la Nouvelle-Calédonie. Ce dispositif devait prendre fin le 31 décembre 2017, puis a été reconduit jusqu’en 2020, pour bénéficier de 5 ans de validité de plus. La loi Girardin industriel prend néanmoins fin en 2020 pour les DOM.
Le principe du dispositif consiste à donner la possibilité à l’investisseur métropolitain de bénéficier d’une importante réduction d’impôt qui peut être supérieure au montant de son apport. Le placement a pour principe de mettre à la disposition d’une entreprise ultramarine un matériel ou un bien d’équipement nécessaire à son exploitation. Ceci pendant une durée de 5 ans. Au terme de cette période, l’investisseur cède le matériel à l’entreprise, ce qui donne lieu à la sortie en montage.
L’investissement sous la loi Girardin est fortement encouragé par l’État dont l’objectif est de relancer l’économie dans ces DOM TOM. Outre la possibilité de défiscaliser, l’investisseur réalise un rendement annuel attractif, en particulier s’il bénéficie d’un accompagnement de qualité. Il s’agit certes d’un placement risqué, dans la mesure où l’investisseur qui est associé de la SNC constituée engage entièrement sa responsabilité tout au long de l’opération. De plus, un mauvais pilotage risque d’aboutir à une défaillance de l’exploitation qui n’aura pas atteint la période règlementaire requise.
Pour cela, il est important de faire appel à un spécialiste en Girardin industriel : pour le montage du dossier juridique, pour la constitution de la SNC et pour l’obtention facilité du prêt destiné à financer le matériel ou le bien d’équipement. Les bons spécialistes en Girardin proposent également certaines garanties : les informations sur groupe-profina. com.